| Louange à la mère (FDB
n° 106, 1970, pp. 5-7).
Louange à la mère
Kemmini, a yemma,
Atamment deg teŠ¨asen,
Ur wezzileŸ, ur Še¨¨ifeŸ;
Ttalemmast deg tulawin.
An níellel Sidi Ûebbi,
A yemma, ad aà-kem-itim.
…xil-m, a yemma ta²zizt,
Semmeí-iyi segg ul, ay yexti
Tes²a cchu¨ di t²ebbut-im,
³amayen deg rebbi.
Acu ara buddeà i yemma?
D lÞennet d wudem ¨ Ûebbi.
A yemma ta²zizt a yemma,
Hemmeleà-kem am ti‚-iw.
Lemmer d llwiz ay telliŸ,
A kem-awià di tex¨it-iw.
Kecmeà timura m medden
Yiss-m i „„ebbi¨eà ul-iw.
O toi, maman,
Miel des rochers,
Ni trop petite ni trop grande,
Juste dans la moyenne des femmes.
Vers Dieu je fais monter ma prière
Afin qu'il te garde à mon affection.
Je t'en supplie, maman chérie,
Pardonne-moi de tout cœur, ma mie,
Neuf mois dans ton sein tu m'as portée,
Deux ans sur tes genoux tu m'as tenue,
Que donc te souhaiter, maman:
Le Ciel et la face de Dieu.
O mère chérie, ma mère,
Je t'aime comme la prunelle de mon œil.
Si tu étais dans une pièce d'or,
Dans ma bourse je t'emporterais.
J'ai parcouru des pays étrangers:
Ton souvenir me soutenait.
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